Berti, Eduardo

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EDUARDO BERTI
Demain s’annonce plus calme
FRANCE
Paru le 20 mai 2021

Eduardo Berti est né en 1964, à Buenos-Aires, en Argentine, où il a vécu, ainsi que plus tard à Madrid, qui est en Espagne, et à Paris, qui est en France, ainsi que Bordeaux, où il vit désormais .
Écrivain de langue espagnole, mais aussi de langue française, il est l’auteur de recueils de nouvelles et romans, traduits en huit langues. En français, on peut lire presque toute son œuvre : micronouvelles de La Vie impossible, nouvelles de L’Inoubliable et romans : Le Désordre électrique, Madame Wakefield, Tous les Funes, L’Ombre du boxeur, Le Pays imaginé, principalement publiés aux éditions Actes Sud, et traduits par Jean-Marie Saint-Lu.
Un père étranger a paru en janvier 2021, Un fils étranger en octobre 2021, aux éditions La Contre Allée.
Son premier texte écrit directement en français, Une présence idéale, est paru en 2017 chez Flammarion, réédité en novembre 2022 aux éditions La Contre Allée.
Ses plus récents livres en langue espagnole sont La máquina de escribir caracteres chinos (2017), Faster (2019) et le recueil Círculo de lectores (2020), dans lequel figure une première version de Demain s’annonce plus calme. Mais il est fort possible qu’il ait publié d’autres textes entre-temps.
Parus en France également, aussi on peut lire : Inventaire d’inventions (inventées) (La Contre Allée), fruit d’une collaboration avec le collectif Monobloque, dont fait partie Dorothée Billard, qui signe les illustrations de Demain s’annonce plus calme ; Poèmes de babyfoot (Les Venterniers) et L’Ivresse sans fin des portes tournantes (Le Castor Astral).
Eduardo Berti est depuis juin 2014 membre de l’Oulipo, ouvroir de littérature potentielle pour lequel il écrit aussi quelques textes aux titres savoureux, publiés dans la bibliothèque oulipienne, forcément : Funes se souvient / Funes se acuerda (volume 206, 2014) ; Dix-continuités (volume 217, 2015) ; Grands succès (avec Étienne Lécroart, volume 225, 2016) ; Les voyagent dispersent, appendice final (volume 228, 2017) ; Une question qui revient de loin (volume 235, 2019).
Quand Eduardo Berti n’écrit pas, il traduit, ce qui revient au même, et compose parfois des anthologies, de textes courts et très courts (microrrelatos).
Eduardo Berti © Dorothée Billard (Monobloque)