Fraternité | Luc Dagognet

LUC DAGOGNET
Fraternité
FRANCE
200 pages / 18 € / Format : 13 x 20 cm / ISBN 979-10-95434-47-4
Paru le 17 août 2023 
< Le livre >
Comment une simple balle de tennis, plutôt molle, peut-elle avoir un effet aussi dévastateur sur la tranquille existence d’un parisien misophone ? Pourquoi son voisin tonitruant décide-t-il de se comporter en psychopathe et de lui pourrir la vie ? Tout cela a-t-il quelque chose à voir avec cet individu malade qui tente de forer les tympans des usagers du métro avec une perceuse ?
S’il commence comme un film d’action, Fraternité se poursuit en une valse joyeuse, pleine de rebondissements, de courses-poursuites et de rencontres étonnantes, de portes dérobées et de souterrains mystérieux. On y croise des publicitaires à l’imagination sans limite et un chat au nez bouché, un lecteur qui a du flair et des fourmis-fantômes, un tricycle à wagonnets, des dizaines de films d’épouvante et deux amis fêlés. On y apprend que le hasard peut même avoir son musée. Et surtout, surtout, qu’il est impossible de haïr quelqu’un une fois qu’on le connaît. À de rares exceptions près.
< À propos >
« Le lecteur qui espérerait trouver dans le premier roman de Luc Dagognet intitulé Fraternité, un récit poignant sur la vie de Ségolène Royal risque d’être salement déçu. Les autres risquent quant à eux de plonger dans l’un de ces livres biscornues qui font l’effet de boules à neiges, comme de regarder un univers fermé sur lui-même, intime, entre le rêve et le monologue intérieur. Moins auto-fiction que divagations, ce premier roman onirique déroule avec un humour caustique délicieux un récit qu’il m’est impossible de résumer : il s’ouvre sur le jet d’une balle de tennis criminelle, se poursuit avec une querelle de voisinage pour se finir en un surprenant train fantôme dans les catacombes. La plume de Dagognet fait des merveilles pour recoudre ce récit pochette-surprise où le lecteur abandonnera vite tout espoir de deviner où ce cadavre exquis aux accents horrifiques compte bien l’emmener, notamment quand un tueur muni d’une perceuse s’invitera dans le quartier où se déroule les évènements.
Je vous avais prévenu : laissez tomber.
Cette fantaisie urbaine a pour théâtre le onzième arrondissement, territoire à la fois familier, branché et hostile dans lequel on décèle le fantôme des attentats terroristes de Charlie Hebdo et du Bataclan, même si le personnage principal, alcoolique et misophone, paraît surtout effrayé par la pollution sonore de ses voisins. Solitaire ou esseulé ? Par son thème, Fraternité étonne : là où l’époque se préoccupe sans cesse de la sexualité, de l’amour et de la solidarité, il explore la possibilité de l’amitié fraternelle, de la complicité amicale du camarade de jeu, de ces amitiés qui ramènent l’enfance avec elles.
En somme, dans ce roman touchant et drôle, Luc Dagognet interroge notre capacité à nouer ces liens et à nous ouvrir à la force émancipatrice de l’amitié. Prometteur. »
Quentin Bruet-Ferréol quentinbferreol
« c’est sans doute la grande leçon de ce texte très positif que de nous montrer que les belles histoires naissent autant de creusets peu glorieux que de pelouses bien tondues, pour peu qu’on continue à oser. Oser aller vers l’autre, oser prendre des risques, oser tenter la vie pour qu’elle vous ouvre des espaces totalement inédits et inenvisagés.
Alors pour 2024 après les huitres et les sucreries, osez une nouvelle drogue totalement révolutionnaire, la FRATERNITÉ, et la maxime de Luc Dagognet “Impossible de haïr quelqu’un une fois qu’on le connaît (À de rares exceptions près)” !!! »
Cécile Douyère-Corallo
Parmi les coups de cœur de la rentrée littéraire 2023 de la librairie Mollat Bordeaux
Dans la sélection de la rentrée littéraire 2023 de la librairie Le Silence de la mer Vannes
Dans la sélection de la rentrée littéraire 2023 de la librairie Le Divan Paris
Aimé par la librairie Gibert Barbès Paris
Dans la sélection de la rentrée littéraire 2023 de la librairie A la ligne Lorient
« Un conflit de voisinage extrêmement drôle qui va de la catastrophe au rapprochement. »
Dans la sélection de la rentrée littéraire 2023 de la librairie de Clermont Clermont-Ferrand
« Ce sera mon conseil littéraire de la rentrée. J’avais un milliard de trucs à clôturer avant de partir donc pas prévu de me lancer dans 200 pages de pur fun efficace et perspicace et admirablement écrit / déroutant / adorable mais que voulez-vous, j’ai pas pu le lâcher. »
Louise Le comptoir du livre Liège
« Les éditions do publient Fraternité, le premier roman (public) de Luc Dagognet. C’est une joie de l’avoir en main puis de le lire. Il y aurait beaucoup à dire de Luc et de son allure faussement rapide de skateur qui irait vite, vite. Mais c’est le roman de l’amitié et de la profondeur des liens qui se cachent derrière la jubilation comique. « Quand mes amis sont borgnes, je les regarde de profil », la maxime de Joseph Joubert, le narrateur de Fraternité la pratique comme une manière d’amour. Les manies, les folies, les erreurs de nos contemporains, elles nous irritent d’abord mais par la suite, elles nous paraissent les choses les plus humaines et aimables finalement. Et la voix qu’on entend dans le roman, pleine de la ville, de cinéma, de lectures, elle donne envie de fraterniser avec tous ceux à qui la psyché fantasque de Luc Dagognet donne une forme qui nous ressemble. »
Librairie Vendredi Paris
Florian Herbert-Pontais ledevorateur
« Lu et adoré Fraternité de Luc Dagognet paru aux éditions Do. Drôle, inventif, très mignon, un roman a offrir à tout le monde qui souhaite une belle littérature qui fait du bien (oui j’ose). Un gros ❤ pour cette description hilarante du pain surprise et ces références de films d’horreur qui m’ont fait frémir ou soupirer. »
Gwendoline Touchard
« Fraternité est le premier roman de Luc Dagognet (le même Luc Dagognet qui publie la revue L’Autoroute de sable). C’est un récit qui bifurque, emprunte d’abord une direction – une querelle de voisinage qui tire vers le thriller – on songe un instant à Propriété privée de Julia Deck, sauf que le protagoniste-narrateur est célibataire et sans enfants ; et puis ça part dans un chemin de traverse ; une autre voie s’ouvre, laquelle choisir se demande le lecteur ? Et tiens, justement, nous voici dans un labyrinthe, dont l’issue s’éclaire d’une lumière inattendue. Car pourquoi un roman devrait-il être uni-directionnel ? Le narrateur, un trentenaire plein de craintes, de doutes, de failles, de détestation du bruit et d’un vrai désir de fraternité nous promène dans le wagonnet de sa pensée (il y a aussi un wagonnet dans l’histoire) entre roman social, épouvante, roman psychologique, roman d’amitié (comme on dit « roman d’amour ») et même roman à thèse, car il arrive qu’une thèse en effet s’impose. Et j’ai oublié de dire que, et ce n’est pas la moindre de ses qualités, ce roman parvient à être drôle et tendre à la fois. Avec tout le reste, ça nous fait une belle addition. »
Philippe Annocque écrivain
« Pour vous co-propriété rime avec conflit armé ? Fête des voisins avec tocsin ? Laissez ce roman vous prendre par la main et vous mener, d’innocentes querelles en revanches exquises et tordues, vers l’amour de votre prochain… Avec une entrée en matière hilarante, un anti-héros à la Fabcaro, une sensibilité qui fluctue du pire cynisme au romantisme le plus fleur bleue, cette intrigue vous fera arpenter des profondeurs insoupçonnées. Réjouissant et humaniste (si, si !) »
Librairie Albertine Concarneau
« Drôle, caustique, cynique. Un voisin psychopathe qui peut à tout instant faire basculer le roman dans l’horreur, un narrateur misanthrope qui boit trop, et c’est parti pour des montagnes russes romanesques ! Jusqu’à la fin, je me suis demandé si 🤐. Coup de cœur ! »
Aline Sirba critique littéraire
« Fraternité réussit à nous ouvrir des portes insoupçonnées dans une contemporanéité déployée avec un esprit joueur et un art de la situation généreusement comique. » → lire l’article 
Pierre Butic En attendant Nadeau
Amélie Lucas-Gary écrivaine
« Amitiés, films d’horreur, bière et chat sont les ingrédients cette comédie virevoltant et rocambolesque qui nous entraîne dans les souterrains parisiens. Un régal.  »
Librairie Nordest Paris
« Écrire un livre qui fait passer un vrai bon moment n’est pas tâche aisée. Alors chapeau Luc Dagognet pour ce petit bonbon de rentrée. Fraternité, ce n’est pas un nom anodin puisqu’il nous a mis du baume au cœur avec son histoire de franche camaraderie (quand même), sans parler de son voyage urbain et de ses virées délicieuses dans ruelles et caves. »
Librairie Fracas Lorient
My Little Paris
« Une merveille qui commence par une lutte de voisinage, navigue entre plein de registres différents et se transforme peu à peu en une exploration des rencontres de hasard. C’est beau, tendre, zinzin comme il faut et c’est aussi divinement écrit.  »
csquirrel
« Drôle, intriguant, vivifiant, réjouissant, imaginatif, voilà un roman que vous n’allez pas croiser partout mais qui vaut le détour ! Parce que vous n’avez aucune idée de l’ampleur que peut prendre une querelle de voisinage, mais surtout parce que vous y ferez des rencontres inoubliables. Si vous acceptez de vous laisser conduire loin de vos premières impressions, alors c’est parti, embarquez et fraternisez. »
Librairie Terre des livres Lyon
« Assez vite on sourit du cocasse des situations et de cet anti-héros pétri de préjugés mais en quête perpétuelle de liens, d’amour, d’amitié, enfin quelque chose qui se passe quoi ! Puis le sourire se pince, on se tend, on se détend, on attend… Des querelles de voisinage qui virent à l’obsession, des soirées fort arrosées pour cacher l’ennui, Jean-Paul le chat pour conjurer la solitude, un perceur fou, des passages secrets… Un roman attachant qui se lit tout seul et où on est d’accord de se faire un peu balader. »
Librairie La Mauvaise Herbe Eymet
« Fraternité explore avec humour et mystère l’étrange fascination pour les chemins de traverse qui mènent au hasard et à l’amitié ! »
Librairie L’Usage du papier Trouville-sur-mer
« Que dire de ce premier roman totalement surprenant, si ce n’est que c’est une sacrée découverte et un réel plaisir de lecture… »
Pierre Barrault Librairie Durance Nantes
« Un drôle de roman, foutraque et attachant. Ou comment un innocent conflit de voisinage inquiète au plus haut point avant de générer de l’espoir au milieu du chaos.  »
La librairie curieuse Saint-Briac-sur-mer
« C’est original, bien mené et sensible. Bravo Luc Dagognet. »
_moli_
« C’est drôle, intriguant, émouvant, truffé de références cool et on n’a pas envie que ça s’arrête. Une belle invitation à s’ouvrir à la découverte, la rencontre et l’amitié pour tous les trentenaires urbains désabusés. Ça donne envie de croire en autre chose que le repli sur soi.  »
Batleclair
« C’est beau, il y a des idées tout le temps, et c’est émouvant cette question de l’ouverture à l’autre, de la sortie de l’hostilité (en passant par ce merveilleux musée du hasard). »
Antoine Mouton libraire et écrivain
« un sort particulier à cette merveille de Luc Dagognet, surprise total d’un premier roman qui soit un livre plein, drôle, aventureux, flippant, fantastique, documenté, et qui parvient à bien porter son titre intrigant de Fraternité, car en émane une inattendue tendresse pour le genre humain. »
Guenaël Boutouillet critique formateur médiateur littéraire conseiller littéraire animateur de Rentrez ! proposition d’intervention/animation en médiathèque, à la fois ludique et experte, consacrée à la rentrée littéraire.
Parmi deux recommandations de la rentrée (la seconde est Bonne nuit mes doudous, on a plus mauvais goût)
« Rebondissements, courses poursuites et rencontres étonnantes, qui ne nous laissent aucun répit et nous tiennent en haleine d’un bout à l’autre du roman. Brillant ! »
Les Vivants Le Havre
« Etonnant et magnifique road-movie essentiellement parisien, quoique parfois souterrain. le roman est en quelque sorte dynamique ; le lecteur est tenu en haleine par des péripéties qui s’enchainent dans des univers racontés avec une sensibilité et une drôlerie bluffantes. (…) Un vrai régal, mi-effrayant, mi-optimiste, servi par un style subtil et drôle. »
Baltic
« Ce roman de Luc Dagognet m’a fait rire et m’a émue. Très fantaisiste, il inclut aussi une part d’étrange et d’insaisissable (…) C’est surtout une ode à la rencontre, au hasard, à l’amitié et je l’ai trouvé très très plaisant et tout à fait salutaire.
Une véritable friandise croquée avec bonheur. »
toutcequejaimais