NOGA ALBALACH
Le Vieil Homme. Des adieux
Titre original : האיש הזקן – פרידה
Traduit de l’hébreu par Rosie Pinhas-Delpuech
136 pages / 16 € / Format : 13 x 20 cm / ISBN 979-10-95434-26-9
La traduction de ce livre a bénéficié du soutien du Centre national du livre
Paru le 25 août 2020
_
〈 Le livre 〉
Une fille accompagne son père dans les derniers mois de sa vie. Elle le regarde devenir de plus en plus confus et souhaite préserver quelque chose de sa personnalité, qui disparaît sous ses yeux. Plus il oublie, plus elle se souvient ; plus il s’éloigne, plus elle sent une proximité nouvelle entre eux. Avec humour, tendresse et poésie, cruauté parfois, elle observe de plus près sa famille et les gens qui les entourent, et la façon dont leurs relations délicates changent à mesure que la maladie de son père progresse. À travers souvenirs et moments tragi-comiques de la vie quotidienne, Noga Albalach dresse le vivant portrait d’un homme courageux et humble, noble à sa manière. Le Vieil Homme. Des adieux, l’histoire d’un seul homme, devient l’histoire de chaque homme, de chaque parent, de chaque famille.
_
〈 À propos 〉
« Ce livre est, à mon avis, un chef-d’œuvre. »
Dror Burstein écrivain
_
« Une distillation belle et minimaliste de l’absurdité existentielle de la vie humaine, qui noue la gorge à sa lecture. »
Haaretz
_
« Un bijou littéraire rare. Mince et sans prétention, plein de considération, sans fioritures, rempli d’idées merveilleuses et de compassion. »
Yigal Sarna journaliste
_
« Il m’est difficile d’exprimer avec des mots toute la générosité, la beauté et l’honnêteté morale qu’il y a dans ce livre. »
Orna Kazin écrivaine
_
« C’est un livre merveilleux qui, parmi tous les moments de tristesse, parle encore d’optimisme, d’amour de l’humanité et d’amour pour le monde. »
Elad Zeret journaliste
_
« Chère Noga, un grand merci pour votre livre. Je viens de le finir à l’instant, je l’ai lu ce matin, je l’ai beaucoup aimé. J’ai l’impression de connaître votre père. Moi aussi, j’aime Jean-Jacques Rousseau. Votre livre m’a fait pleurer. » Amitiés
Éric Vuillard écrivain prix Goncourt 2017
_
« Un cerf-volant en plein ciel, voyage à l’infini. Magistral, doux comme de la soie, Le Vieil Homme. Des adieux est le toit du monde, une voûte lactée. Ecrire l’hymne pour un père, un vieil homme. le temps est compté mais ne craint pas les déserts perpétuels. Pénétrer sur le seuil subrepticement d’une littérature de renom. Regarder l’imperméable parabolique accroché sur le porte-manteau, se dire que l’homme est encore ici. Mémoire vacillante, ère universelle, retenue pudique. Les instants statufiés sont des murailles, du pain pour demain. » → lire la suite sur Babelio
Evlyn Leraut
_
Libération Mathieu Lindon 26-27 septembre 2020
_
« Je découvre chaque publication des éditions do avec un immense plaisir, une grande curiosité et beaucoup d’émotions. Ce titre n’a pas fait exception et j’en suis ressortie tout simplement bouleversée par l’amour qu’il contient. La maladie et la mort sont des sujets difficiles qui égratignent nos vies et la littérature est aussi là pour en parler. Noga Albalach le fait d’une très belle manière.
Conçu en une succession de moments, de courts chapitres, Noga Albalach décrit l’évolution de la maladie de son père. Il perd la mémoire, il perd ses repères, il perd sa mobilité. Il se perd dans sa vie. Mère et fille sont présentes pour tenter de lui redonner une sécurité, pour le soutenir dans ce quotidien devenu labyrinthique. Jusqu’au jour où leur présence et leur attention ne suffisent plus, jusqu’au jour où l’heure du deuil est venue. Ce portrait du père est infiniment émouvant dans l’humanité, dans l’optimisme mais aussi les douleurs qu’il a portés tout au long de sa vie, dans l’héritage qu’il laisse derrière lui.
Ce texte intime nous immerge dans un moment familial difficile, nous invite à nous confronter avec bienveillance à nos propres épreuves (passées ou à venir). Les prénoms des personnages apparaissent peu, le plus souvent nommés par leur statut familial : le vieil homme, la femme du vieil homme, la fille du vieil homme. Ces personnages trouvent des visages et en changent, ils sont inconnus pour devenir petit à petit proches. Nous calquons sur eux nos propres réalités (vécues ou appréhendées) avant de replonger dans l’intégralité du récit et l’histoire qu’il retrace par le biais d’instants puisés parmi les souvenirs de famille, entendus ou vécus, anciens ou récents.
Dans cette écriture du réel teintée de poésie, l’auteure rassemble autour de sujets universels : la perte d’un être cher, l’irréversibilité du temps, la préciosité des souvenirs. Les sujets qui rassemblent me plaisent toujours car ils créent une proximité humaine impalpable — alors que je suis seule dans ma lecture, mon stock de mouchoirs s’épuisant dangeureusement — mais réelle et puissante. Un livre qui m’a touchée en plein cœur et qui révèle une auteure tout en sensibilité et délicatesse, non dénuée d’humour malgré la gravité du sujet.
J’ai tourné la dernière page et je suis partie en voyage dans mes souvenirs, ceux encore très vifs, ceux enfouis sous un peu de poussière, ceux qui se cachent encore et qui devront être exhumés. Car la mort, malgré sa nature absolue, ne peut effacer ce qui a été vécu, à nous de prendre soin du temps précieux que nos proches nous ont donné — ou nous donnent encore — sans compter. »
Les Miscellanées d’Usva lesmiscellaneesdusva.wordpress.com
_
« Shlomo, nonagénaire, perd la mémoire. A son chevet, sa fille Noga consigne ses dernières semaines, entre agissements absurdes et brefs retours à la raison. Elle s’efforce de retracer la vie de ce père timide et profondément humain, exilé de Bulgarie à Tel-Aviv à 18 ans pour échapper aux nazis, avant d’être enrôlé dans les différentes guerres entre Israël et ses voisins. En choisissant de raconter cette histoire autobiographique à la troisième personne, avec une bonne dose d’humour doux-amer, Noga Albalach révèle la force des liens qui depuis toujours unissent les protagonistes. Tels une leçon de piano, à laquelle l’homme accompagnait sa fille chaque semaine, ou son soutien inconditionnel mais inquiet lorsqu’elle décida d’abandonner la finance pour une carrière d’éditrice. De ce récit d’une disparition annoncée, la romancière tire un émouvant chapelet d’instantanés d’une vie aussi anonyme qu’unique. »
Le Monde des livres 20 août 2020
_
« Un texte pour jeter des sorts à la mort, la prendre par les cornes pour mieux la dissoudre et la renvoyer à ce qu’elle n’est pas. Opposer aux derniers jours une mémoire des instants, la force d’une littérature sans effets, la puissance de liens intimes, la présence des vivants, la tendresse mêlée de bienveillance d’une fille pour un père qui s’efface à petits feux. Shlomo perd la mémoire et la retrouve en de brefs instants, lucide et sagace sans le vouloir (Dis, papa, tu sais qui je suis ? Qui pose la question ?), digne et timide, puis disparaît parce qu’il n’est qu’un être humain. Sa fille veille, le soutient sans condition, l’interroge et prend des photos sur « la pellicule de sa mémoire ».
Ce livre alors comme un album sépia où chaque scène creuse des bouts de vie, peint le tableau d’une humanité jamais aussi présente pour n’en garder que l’optimisme. Il semble qu’une proximité nouvelle puisse éclore précisément au moment même où les distances s’allongent, où les êtres s’éloignent, où le sentiment de perte vous foudroie. Le souvenir est alors une matrice du temps présent, la condition d’une prise de conscience, qui vous rappelle qu’on ne peut vivre intensément que dans l’instant. La perspective de la mort est alors ce qui rapproche, ce qui unit les trajectoires au lieu de les défaire. Point de rupture mais des continuités sensibles, une chaîne d’amour indéfectible. Des phrases sans doute bien compliquées, pardonnez-moi, qui ne restituent pas la beauté simple de ce texte, envahi de douceur et de tendresse.
Les derniers textes publiés par Do éditions sont hantés à leur façon par la vision de la mort. Hasard ou pas, c’est toujours pour aller chercher ce qu’il y a de plus inattendu. Jamais tristes ou désespérants, sinistres ou morbides, ces textes rassurent et suspendent le temps (La Mort et autres jours de fête), tissent des ambiances douces et légères malgré le sujet. Ils vous bercent et vous caressent, invitant le lecteur à l’empathie pour ce Shlomo et sa petite fille. Comment ? Par un ton doux-amer et cet humour parfois incongru au milieu de ce qui est toujours vécu comme une tragédie. Mais ce n’est pas une tragédie, plutôt un conte réaliste rempli d’instants aussi magiques qu’ils semblent anecdotiques. Des fragments de vie, des bribes de passé, des anecdotes de rue.
Un livre d’une fragilité lucidité, qui nous dit que l’existence est aussi absurde que fascinante, aussi légère que tragique, teintée d’une joyeuse bizarrerie. La bonté et la compassion traversent les générations, elles sont mêmes léguées comme des biens précieux. Il ne reste que ça et tout ça à la fois pour tromper notre condition de mortel. C’est peu et immense, mais une vague sereine doit finir par vous emporter, dans un dernier souffle à peine audible, perceptible. On s’en va mais les autres restent, votre souvenir aussi. Ce sont ces pages saturées de blanc, qui disent les silences pleins de mots et les souvenirs qu’on imagine, qu’on reformule par petites touches.
Un livre aussi tout en ironie — c’est fondamental —, toujours délicate, celle d’une existence qui est à elle-même sa propre ironie, insensée et magnifique.
Autrefois, le vieil homme vivait ici, il vivait et il n’est plus. Cette chose, à un âge avancé, sa fille a du mal à le comprendre.
Un texte pour apaiser les âmes. Un texte émouvant. Un livre plein de sourires finalement, de ceux qui savent le tragique sans s’y soustraire. Une haie d’honneur aux liens éternels, une stase familiale pleine de grâce. Un livre à l’image de ce vieil homme, humble et digne, pudique et empli de générosité, qui nous tend le miroir d’une humanité encore digne d’être aimée. Si ce livre ne vous touche pas, alors je ne peux plus rien faire pour vous. »
L’Espadon Blog d’actualité, de critiques et chroniques littéraires
_
« « Le vieil homme était assis au bord du brancard, avec une couche pour seul vêtement.
Il avait réussi à enlever tout seul la chemise d’hôpital. Et s’il avait pu il se serait défait de la couche agaçante dont il n’avait pas eu besoin jusqu’à ce jour. Et maintenant, assis comme un bébé au bord du lit d’hôpital, l’esprit confus, il cherchait un moyen d’en descendre. »
Un vieil homme tire lentement sa révérence. Et sur cette route vers la mort, ses souvenirs et sa personne se désagrègent, charriés par le flot de vie qui s’échappe. Sa femme et sa fille l’accompagnent du mieux qu’elles peuvent, bouleversées par la situation, tentant de faire face à la maladie de l’oubli. De la maison à l’hôpital jusqu’à la disparition et l’après, Le Vieil homme. Des adieux narre, depuis le point de vue de la fille du vieil homme, les derniers moments de cet être qui disparaît, et tout ce que la disparition fait apparaître de ce qu’il a été et de ce qu’il a légué.
« La fille du vieil homme est émue : que de choses sont cachées en chacun de nous sans que nous le sachions. »
Totalement écrit à la troisième personne du singulier, donc à une certaine distance des personnages, le texte de Noga Albalach n’en est pas moins chargé d’empathie et de respect. Par petites touches, sous forme de micro chapitres de moins d’une page, les événements saisis et la parole qui les décrit font montre d’une superbe justesse de ton. Ni pathos dégoulinant ni froideur rigide, tout ici relève de la tendresse, de l’affection, et de la volonté de laisser toute sa dignité à ce vieil homme qui s’en va. La fiction laissant apparaître au fur et à mesure sous ces pronoms et adjectifs distanciés une réalité que l’on devine toute biographique, la pudeur enveloppe chacune des lignes.
Noga Albalach écrit son père, tente d’en capter la mémoire alors même que celle-ci s’évapore. En fille aimante et timide elle tourne autour des souvenirs et du présent qui s’amenuise, capte le chagrin, la mélancolie, mais aussi le rire qui perdure dans les situations les plus absurdes. Elle écrit pour conserver mais parvient beaucoup plus loin : elle redessine in fine un portrait enfoui de ce père humble et réservé en reliant pour la première fois des points de son histoire qu’en personne trop proche elle n’avait jamais observé.
« Mais l’optimisme ne se décide pas ; il est une inclination du cœur, une qualité. »
Même s’il se fâchait parfois, ou n’extériorisait jamais sa joie, ne dansait pas, ne se réjouissait pas, le vieil homme avait en lui un enthousiasme ardent qui le conduisait sur son chemin avec un optimisme irrémédiable. C’était un optimisme qui le nourrissait de l’intérieur et il s’y soumettait avec la timidité qui le caractérisait »
Tragique mais constellé de sourires, car la vie est ainsi faite, Le Vieil homme. Des adieux se révèle surtout être un fabuleux livre sur la résilience et un splendide hommage à ceux et celles qui traversent nos vies et la marquent de leur empreinte. »
Librairie Myriagone Angers
_
« Tendre et délicat. »
Librairie Les Villes invisibles Clisson
_
« C’est digne, réaliste, absolument tendre, touchant, superbe hommage à un père.
La construction est originale, l’écriture minimaliste, la mise en page aérée, pas classique du tout, composée de cent-treize petits textes, un courant sur une page. Chacun touche au coeur ! Un roman tout en finesse, parfois grave, mêlant avec grâce, poésie et humour, teinté de nostalgie, parfois taché par les pleurs de sa fille, Noga Albalach, qui nous montre un Shlomo, tour à tour, lucide, confus, oublieux de la réalité, parfois agressif. Une ultime fin de vie relatée avec cruauté parfois, amour, douceur et délicatesse !
Un livre merveilleux à ajouter aux pépites de sa bibliothèque. »
Annette55 Babelio
_
« Un roman tout en finesse sur les derniers mois de la vie d’un vieil homme et de sa fille qui l’accompagne. Le vieil homme ne reconnaît pas grand monde et la fille du vieil homme fait ce qu’elle peut pour l’accompagner. Une très belle écriture, une mise en page peu classique : de courts paragraphes sur une page. Une belle découverte que ce roman. »
Laurence 1485 Babelio
_
« La mise en page du texte laisse des blancs de taille variable, mimant ces « trous de mémoire », espaces à combler, du moins en partie. Ce n’est pas un récit linéaire, mais au gré du surgissement des souvenirs, le puzzle en morceaux épars devient peu à peu une image lisible. On s’émeut et on sourit aussi. Un récit qui continue à vivre comme il est écrit, légèrement et fortement, dans la mémoire du lecteur une fois le livre fermé. »
Catherine Désir de lire
_
« Ce roman très court sur la fin de vie et la maladie d’Alzheimer est magnifique. En une phrase ou un paragraphe par page, l’auteure raconte la vie et la fin de vie d’un homme (son père ?) avec émotion, poésie, humour, tendresse… À découvrir »
Yannis bibliothécaire
_
Coup de cœur de la librairie Les Traversées Paris
_
Coup de cœur de la librairie Filigranes Bruxelles
Dans le Filiber, le magazine de la librairie
_
Un petit livre plein d’humanité et de douceur, un texte très touchant qui mérite d’être découvert.
A mi-chemin entre le conte et le recueil de poèmes, Le Vieil Homme. Des adieux nous livre les pensées d’une femme qui accompagne son père dans les dernières semaines de sa vie.
On y lit l’impact de la maladie sur le vieil homme, le désœuvrement de la famille et aussi le passé du vieil homme. C’est une vie riche d’humilité, de timidité et de bonté qui se dessine en filigrane.
C’est un texte plein d’amour et d’humanité; une voix pour les Timides qui ont une part importante dans le texte. C’est aussi et surtout une ode à l’optimisme dans des temps où cette notion semble désuète. C’est un texte subtil, pudique et doté d’un bel humour doux-amer.
Malgré une thématique aussi lourde que la maladie et le deuil, Noga Albalach nous livre surtout un texte lumineux qu’on a envie de picorer et de garder prêt de soi.
Un texte très touchant qui mérite d’être découvert.
Librairie L’Intranquille Besançon
Et aussi à écouter sur France Bleu Besançon →
_
Il n’est pas rare d’écrire sur la mort d’un parent — mais pas comme le fait Noga Albalach ! Dans Le Vieil Homme. Des adieux elle réussit en effet à évoquer en même temps que la disparition de son père, l’homme vivant qu’il était. Alors qu’il y est question de mort, ce livre, curieusement, nous parle de vie, comme rarement. Il faut dire que le récit est relaté sur un mode particulier. Par petites touches, souvent sous forme de notes qui ne remplissent pas une page entière, la narratrice, la fille du « vieil homme », constate, rapporte les premiers signes de la maladie d’Alzheimer dont souffre son père et observe leurs effets progressifs. Ce mode de relation, sobre, sommaire installe une distance, produit même des effets cocasses, étonnants, fait sentir quelque chose de vibrant, de vivant.
Tout le livre s’articule autour d’un double mouvement, comme si la mort convoquait la vie. Ainsi, à mesure que le père perd la mémoire, la fille, c’est assez étrange, acquiert de nouvelles connaissances : elle découvre de nouvelles facettes de son père, prend conscience de certains faits dont le sens lui avait échappé… Elle parvient à la longue à reconstituer l’homme vivant, l’homme tout entier, qu’il était. Et finit par mesurer l’ampleur de ce que cet homme modeste et timide a réussi à accomplir l’espace de son existence. En même temps qu’un portrait vivant d’un homme disparu, ce livre donne à voir, toujours dans ce double mouvement, à la fois l’absurdité de la vie qui nous condamne à mourir, à perdre ceux qui nous sont chers, et ce que certains d’entre nous, à l’image du « vieil homme », parviennent à faire dans le tout petit laps de temps qui nous est accordé — et qui donne plein sens à la vie. A LIRE, SANS HÉSITATION !
Barbara Lambert journaliste et critique littéraire
et aussi à écouter sans l’émission de Caroline Gutman sur RCJ (à partir de 28’10) →
_
Un livre cocasse et lumineux sur le sujet pourtant tragique de la fin de vie. Le regard d’une jeune fille sur la vieillesse de son père pose mille questions essentielles qui donneront une densité à leur relation jamais envisagée auparavant. La mise en page très aérée incite d’ailleurs à décanter chacune de ces questions avec tout l’espace mental nécessaire. On a le cœur serré, on rit franchement et on sort incroyablement revigoré. Comme si la mort était bien ce qui donne une consistance à la vie.
Bastien Médiathèques Valence Roman
_
Écouter Nikola Delescluse sur Radio Campus, dans son émission Paludes →
_
Den gamle mand. Afsked
traduction en danois parue en 2021 aux éditions Forlaget Vandkunsten